Quel est le potentiel de l’Intelligence Artificielle couplée au digital pour relever ces défis dans le respect de la diversité culturelle, de l’éthique et des droits humains ?
[vc_row css= ».vc_custom_1518473967271{margin-top: 0px !important;margin-bottom: 0px !important;padding-top: 80px !important;padding-bottom: 80px !important;} »][vc_column width= »1/3″][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_single_image image= »1633″ img_size= »full »][vc_column_text]Dr. Eric ADJA est le président de l’Agence francophone pour l’intelligence artificielle (AFRIA), une fondation internationale basée à Genève, avec pour mission d’accompagner les pays francophones, notamment africains dans la promotion des technologies du numérique et de l’intelligence artificielle au service de la création d’entreprises et du développement durable.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][vc_column width= »2/3″][vc_custom_heading text= »Quel est le potentiel de l’Intelligence Artificielle couplée au digital pour relever ces défis dans le respect de la diversité culturelle, de l’éthique et des droits humains ? » font_container= »tag:h3|text_align:left » use_theme_fonts= »yes »][vc_separator color= »custom » align= »align_left » border_width= »2″ el_width= »10″ accent_color= »#0079d0″][vc_column_text]
L’intelligence artificielle, reste un domaine relativement nouveau, en pleine croissance. Les besoins en formation et informations sont immenses, à destination de divers publics : dirigeants politiques, chefs d’entreprises, universitaires, populations rurales et du grand public.
Par ailleurs, le défi rencontré par les pays qui n’ont pas développé leur propre stratégie et compétences dans les technologies de l’IA, est qu’ils sont tributaires de solutions incubées in vitro et non in vivo. Cela signifie que bien souvent les solutions sont décolérées de la réalité locale et ne répondent que partiellement aux besoins, notamment des populations les plus précarisées mais aussi les plus éloignées de ces outils (agriculteurs, producteurs, etc.)
L’AFRIA se définit donc comme plateforme dont la fonction est double : 1- diffuser du savoir en matière de développement durable par le truchement de l’IA et technologies numériques. 2- faciliter l’intégration et l’implémentation de cette technologie en connectant les acteurs/secteurs manifestant des besoins et les pourvoyeursde solutions. L’AFRIA opère avec la préoccupation centrale de garantir aux états africains leur souveraineté numérique, de servir le bien commun et de promouvoir une écologie intégrale. Cette double mission se traduit en détails comme suit:
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Il est stratégique pour l’Afrique de renforcer ou d’accélérer le développement de ses capacités en intelligence artificielle.
Dr Eric ADJA
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_empty_space][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_custom_heading text= »La sensibilisation aux enjeux et opportunités de l’IA » font_container= »tag:h3|text_align:left » use_theme_fonts= »yes »][vc_column_text]
Produire et diffuser des connaissances et réflexions critiques relatives aux thématiques des technologies émergentes et en assurer la veille stratégique ;Favoriser et organiser la concertation au sein et entre les pays africains et faciliter une plus grande implication des parties prenantes, notamment de la société civile, du secteur privé, des universités et instituts de recherche, des élus, des jeunes, des femmes aux enjeux de l’IA et des technologies numériques.
Stimuler la coopération et le renforcement des capacités des pays africains, pour l’intégration transversale des principes du développement durable, de l’éthique et des droits de la personne humaine au développement accéléré des technologies relatives à l’IA.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_custom_heading text= »Le déploiement et l’intégration de l’IA au profit des hommes et de la nature » font_container= »tag:h3|text_align:left » use_theme_fonts= »yes »][vc_column_text]
Identifier les besoins émanant des secteurs publics et privés en matière de nouvelles technologies, notamment AI, dans les domaines – non exhaustifs – de l’agriculture, de l’urbanisme, de la sécurité, de la formation et de la santé ;
Rechercher dans les milieux académiques, scientifiques et entrepreneuriaux les solutions répondant aux besoins identifiés afin d’en faciliter et de coordonner leur intégration ;
Réunir les acteurs et parties prenantes afin de garantir un développement maitrisé, responsable et économiquement viable de projets durables en Afrique.
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